Les compagnons à 4 pattes peuvent être la source de bienfaits très précieux pour les malades atteints du cancer. Une femme en a fait l’expérience et raconte le soutien incroyable de sa chienne, lorsqu’elle était malade.
Afsaneh Parvizi-Wayne, 57 ans, et son mari Chris, 55 ans, vivent avec leurs deux enfants. Ils étaient sur le point d’adopter une chienne Cockapoo, une race issue du mélange entre un Cocker et un Caniche, lorsque Afsaneh a appris la terrible nouvelle. Elle était atteinte d’un cancer de la vessie et allait devoir suivre un lourd traitement par chimiothérapie.
Après avoir réfléchi, le couple a décidé de tout de même adopter le chiot, qui leur avait été réservé par l’éleveur. C’est ainsi que la chienne est venue agrandir leur famille.
La meilleure chose à faire a été d’adopter le chien !
« Quand j’ai commencé mon traitement, j’ai réalisé que Honey était la meilleure chose qui me soit arrivée, parce que faire une promenade neutralise la fatigue due à la chimiothérapie », explique la maîtresse de la boule de poils.
En effet, Honey a motivé sa propriétaire à sortir se promener, malgré sa maladie. Ceci lui permettait ainsi de s’aérer le corps et l’esprit. Grâce à elle, elle oubliait, le temps de la balade, son quotidien empli de soins et de médicaments. « Je me sentais malade et épuisée, mais cinq minutes après avoir marché avec la chienne, je me sentais mieux », ajoute-t-elle encore. « Après nos promenades, je m’allongeais dans mon lit et Honey était toujours là pour moi », explique Afsaneh.
Un soutien émotionnel indispensable et précieux
Puis, Afsaneh a commencé à subir plus durement les effets de la chimiothérapie. La chienne sentait alors tous les besoins de sa maîtresse. Alors, lorsque Afsaneh n’allait pas bien du tout, trop épuisée par le traitement, et qu’elle ne pouvait même pas quitter son lit, Honey restait allongée à ses côtés. Elle lui a donné l’amour et le soutien dont elle avait besoin. « Honey a été très patiente. Elle n’aboyait jamais, mais restait assise avec moi jusqu’à ce que je me sente mieux. Même maintenant, elle est toujours assise à mes pieds », ajoute la femme.