Bien qu’elle l’ait cherchée partout à l’époque, elle ne l’a jamais trouvée. Sa surprise a été grande lorsqu’elle l’a retrouvée, mais l’histoire ne se termine pas bien. En effet, ce chat n’a pas eu une fin heureuse.
Phoebe avait disparu du domicile de Christine Ball, une femme du comté de Cheshire.
Christine l’a cherchée partout, en collant des affiches et en interrogeant ses voisins, mais elle ne l’a pas retrouvée.
« Elle a disparu alors qu’elle n’avait que deux ans, et nous pensons qu’elle a probablement été enlevée et qu’elle s’est perdue d’une manière ou d’une autre, car elle restait toujours près de chez elle et ne s’aventurait pas loin », explique Christine Ball.
Il y a quelques jours, elle a reçu un appel surprise de la RSPCA (la société de protection des animaux). Cette société déclare alors avoir retrouvé un chat muni d’une puce électronique. Et d’après les informations, elle en était la propriétaire.
Phoebe se trouvait dans un champ, confuse et mouillée. La femme qui l’a découverte l’avait emmenée dans un refuge.
Le personnel du refuge constate que quelqu’un avait adopté le chat au même endroit 20 ans plus tôt. L’équipe a alors contacté son propriétaire d’origine.
Le chat avait déjà 22 ans
Malheureusement, la chatte avait déjà 22 ans et était malade et en mauvais état. Le vétérinaire a alors découvert qu’elle avait une tumeur au cerveau et a donc décidé qu’il valait mieux la laisser reposer.
Phoebe a passé les deux derniers jours de sa vie dans la maison de Christine, où elle a reçu des câlins et la chaleur d’un foyer.
La femme dit qu’elle est reconnaissante au personnel du refuge d’avoir pu la localiser et de lui permettre d’être présente pour les dernières heures de Phoebe et de lui dire au revoir.
« Le vétérinaire m’a dit qu’elle n’aurait pas pu survivre 20 ans dans la rue et que quelqu’un avait sûrement pris soin d’elle en tant qu’animal de compagnie. Nous ne savons pas exactement comment elle s’est retrouvée dans la rue à son âge avancé. Peut-être que la personne qui s’occupait d’elle a été emmenée dans un centre pour personnes âgées ou qu’elle est décédée. Qui peut le dire en ces temps étranges ? », conclut la femme.
