Tout comme les humains, les chiens ont une personne préférée. Dès leur plus jeune âge, les gens trouvent des affinités avec certaines personnes. Ils choisissent donc leur personne préférée, leur professeur favori, et s’attachent alors à un seul membre de leur famille.
Les chiens choisissent alors leur personne préférée en fonction des similitudes qu’ils ont entre eux, afin de créer un lien fort et spécial. Par exemple, si la personne est active, fait de l’exercice et se promène constamment à l’extérieur et que le chien est actif, il est probable qu’il passera plus de temps avec cette personne qui lui correspond et qu’elle sera celle qu’il apprécie le plus.
« En réalité, les hommes et les animaux se ressemblent beaucoup. Et ce mimétisme qui se produit entre chiens et humains vivant ensemble est comparable à ce qui se passe dans les couples, qui finissent par se ressembler dans leur caractère et leur comportement. »
Ce que les chiens n’autorisent qu’à leur personne préférée
Il obéit rapidement aux ordres qui lui sont donnés. En effet, bien que le chien soit généralement obéissant et suive les instructions de n’importe qui, il y aura toujours une personne à laquelle il prêtera plus d’attention qu’à une autre.
Il suit toujours sa personne préférée. Ainsi, pour savoir s’il s’agit de la personne préférée du chien dans la maison, il suffit de voir si le chien va là où vous allez.
Le chien recherche le contact physique. En effet, l’animal veut se sentir proche de la personne qui le protège et l’aime. Ainsi, il se couche à vos pieds, à côté de vous, sur le canapé, ou en demande des caresses.
Une salutation spéciale. C’est également un signe que vous avez manqué à votre chien durant votre absence. Cela se voit lorsque vous le trouvez près de la porte, remuant la queue, sautant et réclamant des câlins.
Dormir ensemble. Ceci est un autre signe indiquant que votre chien vous préfère est qu’il dort entre vos jambes ou vos pieds. S’il se blottit contre vous, c’est qu’il est plus à l’aise qu’avec les autres membres de la famille.
