Barron Trump souffre d’une maladie rare et a le même « destin génétique

Barron Trump a attiré tous les regards lors de l’investiture de son père à Washington DC. Sa grande taille, son attitude discrète et surtout l’apparence de ses cheveux ont lancé une vague de commentaires. Très vite, des internautes ont commencé à comparer son apparence actuelle à celle d’il y a quelques mois. Un changement visible, notamment au niveau de la densité capillaire, a relancé les rumeurs sur une possible affection génétique.

Un médecin spécialiste, le Dr Gizem Seymenoglu, pense que le jeune homme pourrait être atteint d’alopécie androgénétique. Cette pathologie héréditaire concerne une partie de la population masculine. Elle se manifeste par un affinement progressif des cheveux, souvent sur l’ensemble du cuir chevelu.

Dans le cas de Barron, comme chez son père Donald Trump, les signes évoquent une forme particulière : la calvitie de type féminin. Cette variation se caractérise par une perte diffuse, sans recul frontal évident. Un phénomène rare chez les hommes, ce qui le rend encore plus remarquable.

Une attention médicale et médiatique croissante

D’après le Dr Gizem, plusieurs facteurs peuvent aggraver la situation. Le stress figure parmi les premiers responsables. Barron Trump, récemment exposé à une médiatisation intense, pourrait en subir les conséquences. À seulement 18 ans, il évolue sous le regard constant du public et des médias.

Certains traitements peuvent ralentir la chute, voire renforcer les follicules. Les injections de PRP ou les polynucléotides sont souvent utilisés dans les cas similaires. Toutefois, la réussite dépend aussi du mode de vie. Une meilleure gestion du stress pourrait jouer un rôle clé dans son évolution capillaire.

De son côté, Donald Trump prend depuis plusieurs années un médicament destiné à limiter la chute des cheveux. Le Dr Harold Bornstein, son ancien médecin personnel, a révélé que le président utilisait une faible dose de finastéride, connue sous le nom de Propecia.

Le lien entre père et fils ne se limite donc pas au nom ou à la politique. Cette transmission biologique renforce l’hypothèse d’une prédisposition familiale. Internet, de son côté, continue de suivre chaque apparition de Barron avec curiosité, et parfois avec excès.

Aujourd’hui, le jeune Trump se retrouve malgré lui au cœur des débats. Son apparence alimente les rumeurs, mais derrière les projecteurs, il traverse une phase délicate. Grandir sous le regard du monde entier n’épargne personne, même pas les enfants de chefs d’État.