Ma cousine a détruit ma voiture parce que je ne voulais pas la lui prêter, et maintenant ses parents veulent que je paie les dégâts

Ma cousine n’a pas supporté que je lui refuse ma voiture. Ce qui aurait dû rester un simple désaccord entre proches s’est transformé en cauchemar. Voici comment ma cousine a bouleversé ma vie en quelques heures, au nom d’un caprice.

Tout a commencé un samedi matin. Je nettoyais ma voiture, une berline noire que j’aimais beaucoup. Ma cousine Clara est arrivée sans prévenir, comme elle le fait souvent. Elle m’a lancé, sourire aux lèvres : Tu me prêtes ta voiture ? J’ai un rendez-vous important.

J’ai refusé. Pas parce que je ne lui faisais pas confiance. Juste parce que je venais de refaire les freins, et je comptais l’emmener chez le garagiste pour un dernier contrôle. Clara n’a pas insisté. Elle a haussé les épaules, fait demi-tour, puis est rentrée chez elle. Je croyais l’histoire terminée.

Mais deux heures plus tard, j’ai reçu un appel de la police. Ma voiture avait été retrouvée encastrée dans un lampadaire, à trois rues de chez moi. Personne n’était blessé, mais les dégâts étaient importants. Ma cousine était au volant.

Un geste impulsif et ses conséquences

Elle avait profité d’un double des clés que j’avais bêtement laissé chez ma tante. Ma cousine s’était servie elle-même. Sans permission. Sans prévenir.

Quand je suis arrivé sur les lieux, ma voiture ressemblait à une épave. Les pompiers avaient déjà quitté la scène. Un agent m’a demandé si je connaissais la conductrice. J’ai confirmé. C’était ma cousine.

Clara, visiblement choquée, m’a simplement dit : Tu m’as dit non, alors j’ai pris les choses en main. Je suis resté sans voix.

Ses parents sont intervenus rapidement. Pas pour s’excuser. Pas pour me soutenir. Mais pour me demander… de payer les réparations. Après tout, m’a dit son père, si tu avais accepté, elle n’aurait pas eu besoin de faire ça.

Leur logique m’a laissé perplexe. J’ai refusé net. C’est ma cousine qui a volé la voiture. Elle a pris un risque insensé. Ce n’est pas à moi de couvrir ses erreurs.

Personne ne veut payer les dégâts

Ma cousine, elle, garde le silence depuis. Aucun message. Aucune excuse. Elle évite même de croiser mon regard quand je passe chez mes oncles.

Aujourd’hui, la voiture est irréparable. L’assurance refuse de couvrir l’incident, puisqu’il s’agit d’un vol sans effraction… commis par un membre de la famille.

Ma cousine m’a coûté des milliers d’euros. Mais plus encore, elle a brisé un lien de confiance. Les familles traversent des tempêtes. Mais certaines laissent des traces profondes.

Je garde espoir qu’un jour, ma cousine réalise la gravité de ses actes. En attendant, je reprends les transports en commun, le cœur plus lourd qu’avant.

Certaines erreurs ne se réparent pas avec de l’argent. Et ma cousine, pour l’instant, n’a pas cherché à réparer quoi que ce soit.