Stewart n’a aucun problème à dire la vérité. Deux fois par semaine, il se pique le bras avec des doses précises. Chaque injection contient 500 mg de testostérone et 220 mg de trenbolone. Pour lui, c’est un choix assumé.
Son objectif ? Retrouver la libido qu’il avait à 18 ans. Il dit clairement : « Grâce à ces produits, j’ai une vie sexuelle d’adolescent. » Il sait que cette confession dérange. Pourtant, il ne cherche pas à choquer. Il explique simplement ce qu’il ressent.
La plupart des gens ne parlent jamais de ce sujet. Stewart, lui, brise le silence. Il raconte son expérience avec des mots simples. Il ne se cache pas.
Le trenbolone : un produit interdit dans de nombreux pays
Le trenbolone n’est pas un médicament banal. Il sert à développer rapidement la masse musculaire. Dans certains milieux sportifs, il circule sous le manteau. Beaucoup l’utilisent pour améliorer leurs performances ou sculpter leur corps plus vite.
Aux États-Unis, la loi ne plaisante pas avec ce produit. Son utilisation et sa possession sont interdites. Ceux qui en achètent risquent gros. Dans d’autres pays, la réglementation varie.
Au Royaume-Uni, le cadre légal est différent. Posséder ou utiliser des stéroïdes comme le trenbolone reste légal. En revanche, en vendre ou en acheter expose à des poursuites. Cela place les consommateurs dans une zone grise. Ils peuvent s’injecter ce qu’ils veulent, mais ils doivent trouver d’autres moyens pour se procurer ces substances.
Une quête personnelle avant tout
Stewart ne cherche pas à battre des records de musculation. Son but principal ne concerne pas les compétitions. Il veut juste se sentir mieux dans son corps. Il le dit sans détour : « Je fais ça pour moi. »
À lireLe Mans : Un policier motocycliste gravement blessé dans une collision sur l’avenue BolléeCertains le critiquent. D’autres le soutiennent. Mais Stewart reste fidèle à sa démarche. Il considère que chacun est libre de faire ses choix, tant qu’il en comprend les conséquences.
Les stéroïdes comme la testostérone et le trenbolone ne sont pas sans risques. Ils peuvent provoquer des effets secondaires graves : troubles du foie, problèmes cardiaques, déséquilibres hormonaux. Stewart le sait. Il a longuement réfléchi avant de commencer son traitement.
Ce qu’il raconte reflète une réalité souvent ignorée. Beaucoup d’hommes ont recours à ces produits pour des raisons personnelles. Pas uniquement pour les performances sportives, mais aussi pour le bien-être intime. Stewart a choisi de ne plus garder ça pour lui.
Son témoignage suscite des débats. Il met en lumière un sujet souvent passé sous silence : le rapport entre le corps, la sexualité et le vieillissement. Stewart préfère parler franchement. Il estime que chacun devrait pouvoir décider de son propre chemin, en connaissance de cause.