Les États-Unis écrivirent une page d’histoire en attaquant l’Iran en plein conflit avec Israël

Les États-Unis marquent l’histoire en intervenant au milieu de la crise entre Israël et l’Iran, une initiative qui pourrait redéfinir l’équilibre au Moyen-Orient.

Le samedi soir, en plein cœur de la nuit, une opération militaire majeure a secoué la scène internationale. Donald Trump, alors président des États-Unis, a donné l’ordre de bombarder trois installations nucléaires iraniennes. Cette intervention spectaculaire marque une escalation sans précédent dans le conflit au Moyen-Orient. En utilisant six bombes anti-bunker GBU-75 et 30 missiles Tomahawk, l’armée américaine a frappé les sites de Fordo, Natanz et Ispahan.

Ils ont visé leurs structures profondément enfouies sous la roche pour détruire le potentiel nucléaire iranien. Selon Trump, ils ont considéré cette opération comme “très réussie” et “complètement accomplie”, en prenant le contrôle de ces installations essentielles pour l’enrichissement de l’uranium. Le président a également précisé que les avions américains avaient quitté l’espace iranien sans subir de dommages.

Une réaction internationale mitigée à une opération qui bouleverse l’équilibre mondial

Ce changement radical a surpris le monde entier. La communauté internationale a été prise au dépourvu, car peu de pays ont soutenu cette attaque. Le Royaume-Uni et Israël ont exprimé leur approbation, mais la majorité des nations reste silencieuse ou s’oppose fermement. En France, en Allemagne ou en Russie, les réactions restent mesurées, tandis qu’elles craignent une escalade incontrôlable. Aux États-Unis, la polémique fait rage.

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Certains législateurs démocrates et républicains dénoncent un “acte non constitutionnel”. Thomas Massie, député républicain, a affirmé que cette action ne respectait pas la Constitution américaine. De leur côté, certains démocrates soulignent que le président ne possède pas seul le pouvoir de déclarer la guerre. La tension est donc palpable au sein même du pays, alors que la Chambre et le Sénat ne semblent pas unanimes.

De son côté, l’Iran n’a pas tardé à réagir. À la télévision d’État, Téhéran a qualifié l’attaque d’“ennemie”, et l’autorité atomique locale a prévenu que ses installations nucléaires continueraient de fonctionner, malgré les dégâts. Pourtant, Donald Trump a affirmé que ses forces avaient “totalement détruit” les cibles iraniennes, et il a menacé Téhéran d’autres interventions militaires si la paix n’était pas rapidement rétablie.

Il a averti que l’Iran pouvait s’attendre à d’autres cibles, et surtout, que toute riposte contre les États-Unis entraînerait une réponse écrasante. En parallèle, Trump a prévenu Israël, félicitant l’état juif pour son rôle dans cette opération audacieuse, et a souligné que toute tentative de représailles contre Washington rencontrerait une force supérieure.

Une opération précise avec des implications encore incertaines

L’opération, exécutée avec précision, a mobilisé plusieurs appareils stratégiques américains. Des bombardiers B-2 ont largué des bombes GBU-75, capables d’atteindre des structures souterraines profondes. Au total, ils ont largué six bombes, nécessitant la participation d’au moins trois B-2. En parallèle, les forces américaines ont lancé jusqu’à 30 missiles Tomahawk depuis des sous-marins et des navires, visant Natanz et Ispahan.

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La rapidité et la discrétion de cette attaque ont laissé peu de temps à l’Iran pour réagir. Par ailleurs, ils ont aperçu plusieurs B-2 en route vers le Pacifique, laissant envisager une éventuelle prolongation de l’opération ou une nouvelle série de frappes.

L’un des grands enjeux de cette attaque concernait la radioprotection. Après l’incident, la Commission saoudienne de réglementation nucléaire, l’Agence iranienne de l’énergie atomique et l’AIEA ont précisé qu’elles n’avaient détecté aucune hausse des niveaux de radiation. Cela rassure quant aux risques immédiats pour la population civile. Toutefois, la menace iranienne de riposte demeure ferme.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a promis que cette “attaque aura des conséquences éternelles”, suscitant des inquiétudes quant à une escalade militaire plus large. Ainsi, la tension monte, et l’ombre d’un conflit encore plus vaste plane sur la région et le monde entier.