Une scène terrifiante secoue Buenos Aires ce mercredi 21 mai. Dans leur appartement, une femme argentine a été retrouvée en lien avec la mort de ses deux enfants et de son mari. La police pense qu’elle a commis un acte volontaire, puis s’est donné la mort elle aussi. Ce drame familial soulève beaucoup de questions et met en lumière la fragilité mentale.
Une femme et sa famille retrouvées mortes à leur domicile
Ce sont la femme de ménage et les forces de l’ordre qui ont découvert la scène. La femme de ménage travaillait dans l’appartement lorsqu’elle a trouvé tout le monde sans vie. Selon les premières investigations, le drame s’est produit plus tôt dans la matinée. Le mari, âgé de 53 ans, aurait été tué dans son sommeil.
Le corps de l’un des enfants, âgé de 15 ans, a été retrouvé dans sa chambre. L’autre garçon, 12 ans, a été découvert près de la porte. Les enquêteurs pensent qu’il a tenté de fuir, en vain. Cependant, le voisinage n’a rien entendu de suspect ce matin-là. Rien qui aurait pu prévenir ce qui s’est passé.
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Une piste d’intérêt : la lettre laissée par la mère
Les forces de l’ordre ont retrouvé une lettre dans la cuisine, probablement écrite par Laura Fernanda Leguizamón. Elle écrit que “tout va mal” et que “ça faisait beaucoup”. Elle mentionne également que “on allait finir à la rue” et laisse un message d’amour : “je vous aime”. Selon les enquêteurs, ce texte témoigne d’un état mental fragile.
La lettre laisse penser que la mère n’était pas dans ses facultés mentales optimales lors de l’acte. En effet, d’après les informations, cette femme a connu des problèmes de santé mentale dans le passé. Elle suivait un traitement psychiatrique. Récemment, il y a deux mois, elle aurait connu une rechute.
Les éléments de l’enquête confirment l’absence d’un intrus
Les policiers ont rapidement éliminé la piste d’un tueur en fuite. La porte de l’appartement était fermée de l’intérieur. De plus, aucune trace d’effraction n’a été relevée. Ainsi, ces éléments indiquent que personne d’autre n’est impliqué. La scène semble bien correspondre à un acte commis par la mère elle-même. Ce drame familial laisse un grand sentiment de tristesse et pose la question de la prise en charge de la santé mentale. La famille n’a pas pu éviter cette tragédie, malgré les précautions possibles.
Cette affaire met en lumière la nécessité de mieux surveiller les personnes en difficulté mentale. Elle rappelle aussi que la solitude peut aggraver les situations déjà difficiles. La ville de Buenos Aires pleure une famille brisée, et la société doit réfléchir sur la prévention et le soutien.
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