Depuis l’émergence du Covid-19 fin 2019, le récit officiel a constamment dicté que le virus provenait d’un marché d’animaux à Wuhan. Cependant, cette version, longtemps acceptée comme la seule possible, est désormais remise en question. En réalité, plusieurs éléments et nouvelles preuves donnent à penser que la fuite d’un laboratoire pourrait être à l’origine de la pandémie. Et si, depuis le début, on nous avait menti ?
Covid-19 : pourquoi cette théorie a été étouffée depuis le début ?

Dès l’apparition du virus, les autorités chinoises ont rapidement promu la piste naturelle. Selon elles, le virus aurait transité via un marché aux animaux vivants. La communauté internationale a repris ce narratif, sous l’égide d’institutions comme l’OMS, qui ont évoqué la transmission de l’animal à l’homme. Mais rapidement, toute autre hypothèse a été considérée comme de la désinformation ou du complotisme.
Plusieurs raisons expliquent cette censure et ce déni. D’abord, le risque diplomatique avec la Chine, qui aurait pu faire face à une crise sans précédent. Ensuite, la crainte de propager la panique ou de semer la défiance dans une période déjà fragile. Enfin, il y a aussi des enjeux financiers : certains laboratoires occidentaux collaboraient avec l’institut de Wuhan. Leurs intérêts économiques pouvaient freiner toute enquête approfondie. Face à ces pressions, peu d’experts ont pu s’exprimer librement. Jusqu’à récemment, la majorité des voix dissidentes ont été muselées.
Le changement d’attitude se fait lentement mais sûrement. Depuis quelque temps, certains documents et déclarations publiques remettent en cause le récit officiel. Les lignes bougent, discrètement d’abord, puis plus ouvertement. La question devient : pourquoi ce déni si longtemps ?
Les preuves qui dérangent enfin reconnues
En 2025, la donne change. Sous l’administration Trump, le site officiel Covid.gov reconnaît désormais que la fuite d’un laboratoire est “la véritable origine” du Covid-19. La version longtemps rejetée par la majorité des institutions devient une hypothèse crédible. Sur ce site, Anthony Fauci est même mis en cause pour avoir soutenu la piste naturelle. La question centrale est claire : “S’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles seraient déjà apparues. Mais ce n’est pas le cas.”
À lireSymptômes du nouveau variant du COVID-19Des arguments concrets appuient cette nouvelle version. Le virus, dès ses premiers cas, s’adapte très vite à l’humain, ce qui est inhabituel pour une transmission naturelle. Aucun hôte intermédiaire n’a été identifié, alors que la recherche se poursuit depuis des années. La proximité du laboratoire de Wuhan, spécialisé dans la recherche en virologie, avec le foyer initial, soulève également des soupçons. Enfin, la censure massive des informations cruciales par la Chine a empêché toute enquête objective.
De plus, plusieurs agences américaines, jusque-là prudentes, revoient leur position. Le FBI considère désormais la fuite du laboratoire comme “plus probable” que la transmission naturelle. La CIA, en janvier 2025, évoque même une hypothèse quasi certaine, sans pour autant déclarer la certitude totale. Ces révisions montrent un consensus partiel mais croissant, qui pourrait fortement influencer le discours officiel.
La vérité semble de plus en plus difficile à dissimuler. La série d’éléments et de déclarations officielles indique que la piste du laboratoire doit être sérieusement examinée. La recherche de l’origine du Covid-19 doit rester un enjeu de transparence et de vérité. La démocratie scientifique implique de remettre en question toutes les hypothèses, surtout celles longtemps ignorées ou censurées. Maintenant, la question est simple : allons-nous enfin laisser la lumière éclairer cette sombre affaire ?