La dernière sœur survivante du pape François et la raison pour laquelle ils ne se sont jamais revus

La dernière sœur du pape François, une relation mystérieuse : découvrez pourquoi le pontife n'a jamais revu sa sœur malgré leur lien familial.

Le 21 avril 2025, le monde a appris la disparition du pape François. Une étape marquante, non seulement pour l’Église catholique, mais aussi pour sa famille. En dépit de sa renommée mondiale, le souverain pontife a toujours gardé une relation particulière avec ses proches, notamment avec sa sœur María Elena Bergoglio. Cette relation lumineuse, toutefois, a été marquée par la distance imposée par les responsabilités religieuses et les défis personnels.

Pape François : une famille dispersée, mais unie par des souvenirs

La dernière sœur survivante du pape François et la raison pour laquelle ils ne se sont jamais revus
Capture Facebook

María Elena, la plus jeune des quatre frères et sœurs de François, vit en Argentine. Leur lien est fort, malgré la distance et le temps. Jorge Mario, l’aîné, a opté pour un autre chemin de vie. Lorsqu’il était à Rome ou à Buenos Aires, ils communiquaient souvent. María Elena se souvient avec émotion : « On se parle une fois par semaine, on s’écrit des lettres… »

Elle raconte aussi leur complicité lors de moments partagés, notamment la passion du pape pour la cuisine. François adorait préparer des calamars farcis et du risotto aux champignons, des recettes transmises par leur grand-mère italienne. Cependant, après son élection en 2013, le pape François n’a plus pu revoir sa sœur. La raison ? Son rôle de leader de l’Église demandait toute sa disponibilité. Malgré ce, leur relation a survécu à la distance et aux obstacles.

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L’amour familial, même à distance, reste palpable

Depuis plusieurs années, María Elena vit sous la garde de religieuses, fragilisée par des problèmes de santé. Elle a deux enfants et a vécu une séparation. Malgré ces difficultés, la sœur du pape garde une place essentielle dans son cœur pour celui qu’elle n’a pas encore pu revoir depuis longtemps. Sa volonté de le saluer au Vatican est restée intacte.

Mais les médecins lui ont conseillé de mettre sa santé en priorité. La distance ne leur a pas permis d’être proches physiquement, mais leur lien n’a jamais été rompu. Emily, une amie du pape, a d’ailleurs évoqué une initiative symbolique qui a permis de maintenir leur relation : la sculpture offerte par l’artiste Gustavo Massó en 2019. Elle représentait la main de María Elena, accompagnée d’un message touchant. Le pape François, en recevant cette œuvre, a versé des larmes. La sculpture est restée sur son bureau, symbole de leur amour familial, malgré la séparation géographique.

Un adieu émouvant et une symbolique forte

Ce dernier lien physique entre le pape François et sa sœur María Elena a marqué la fin d’une époque. Les analystes argentins considèrent que cette distance imposée fut, pour lui, un profond sacrifice personnel. En évoquant la sculpture, Massó raconte que François caressait la main de María Elena, comme pour la sentir proche.

Cette scène témoigne de la complexité de ses sentiments et de la difficulté à concilier devoirs et amour familial. La mort du pape laisse donc un vide, mais aussi un héritage d’amour filial et de résilience. Son parcours a montré que même lorsque la distance semble insurmontable, le lien du cœur peut rester intact.

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La vie du pape François et sa relation avec sa sœur María Elena incarnent à la fois le devoir, la foi et l’amour familial. Son décès suscite une profonde émotion, mais aussi une réflexion sur l’importance des liens personnels, même dans les moments difficiles. La mémoire de leur relation, marquée par la séparation et la tendresse, continue d’inspirer de nombreux fidèles et observateurs.