Voici l’étrange créature marine échouée en Espagne qui porte un « très mauvais présage »

Le Cemma souligne la rareté de trouver des spécimens de la créature marine. Trois sont apparus sur des plages de Galice.

© Voici l'étrange créature marine échouée en Espagne qui porte un "très mauvais présage"

Le corps d’une étrange créature marine, déjà en état de décomposition, s’est échoué sur une plage de Galice il y a quelques jours. Elle était morte depuis longtemps. C’est pourquoi il était pratiquement impossible de savoir de quel animal il s’agissait.

Deux femmes ont alerté des experts afin qu’ils mettent en marche le protocole d’action pour les animaux morts. Et ce, en prenant des images et des mesures et en identifiant l’espèce afin de déterminer la cause de la mort.

Voici l’étrange créature marine échouée en Espagne qui porte un « très mauvais présage »

L’étrange créature marine est apparue dans une crique à Oleiros, une petite zone sablonneuse d’accès difficile. L’organisation chargée de mener l’enquête sur cet animal a alors révélé le mystère. En effet, la créature rare est une baleine à bec (un type de cétacé similaire au dauphin). De plus, elle souligne la rareté de trouver cette espèce. Bien qu’il s’agisse du troisième spécimen mort découvert sur la côte galicienne ces derniers jours.

Voici l'étrange créature marine échouée en Espagne qui porte un "très mauvais présage"
Source : Capture Instagram

Aussi, le fait que trois rares cétacés se soient échoués sur la côte galicienne en quinze jours « est de très mauvais augure ».

« Celui d’Oleiros est un mâle adulte d’environ six mètres de long. Le 2e qui a été trouvé était également un mâle adulte. Et nous pensons que le troisième était aussi un mâle adulte, car il n’a pas été possible de le déterminer en raison de son état de décomposition avancée.

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Source : Capture Instagram

Cet expert souligne que ces créatures marines vivent loin des côtes et à de grandes profondeurs. Ainsi, ces cétacés se nourrissent, à environ 3 000 mètres. C’est pourquoi le fait que trois d’entre eux soient apparus au large des côtes galiciennes en quinze jours « est de très mauvais augure ».

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