Les leçons d’un vieux chien qui toucheront votre âme

J'ai appris alors qu'il n'est jamais trop tard pour aimer un chien, que même si la vie vous a battu, votre cœur bat toujours.

© Les leçons d'un vieux chien qui toucheront votre âme

Ce texte intitulé « Leçons d’un vieux chien » nous a touché et nous pensons qu’il doit être partagé.

J’avais un vieux chien qui m’a appris la vie.

Il avait vécu dans un parking pendant environ 14 ans. Il dormait sur le sol froid, parfois dehors, mangeait quand on lui apportait quelque chose. Et il était aussi terrifié par les gens.

Qui sait combien de fois, il a été battu, il n’avait jamais été caressé. De plus, il mordait quiconque osait s’approcher de lui. Et ce, tant il avait peur.

Un jour, j’ai commencé à le nourrir, il a grogné et a même essayé de me mordre. Comme j’habitais tout près, il a commencé à manger à la porte de ma maison. Puis, ce chien est entré dans ma vie.

Quand j’ai déménagé, je l’ai emmené avec moi. Il se laissait déjà toucher et demandait même des caresses, il commençait à connaître l’amour.

Et soudain, ce chien est devenu mon ombre, vieux, aveugle, sourd, presque sans odorat. Il me suivait alors, collé à moi partout, il me saluait avec ses aboiements vieux et désuets. Et il se collait aussi à moi comme un chat et dormait toujours à côté de moi.

Les leçons d'un vieux chien qui toucheront votre âme
Source: Capture Instagram

Mon vieux chien est parti pour toujours

Aujourd’hui, je pleure encore sa mort, je le cherche encore à côté de mon lit. En effet, au petit matin, j’étire mon bras pour le caresser. Mais il n’est plus là. Comment oublier la douceur de sa fourrure, comment ne pas me souvenir de son museau humide qui me caressait. Et puis, comment oublier sa loyauté et son amour inconditionnel pour moi, comment arrêter de l’aimer… ?

Je me souviens de ses derniers jours, malmené, souffrant, fatigué. Pourtant, ce chien me cherchait partout.

Je lui ai dit au revoir avec toute la tristesse et la douleur que l’on peut ressentir en perdant un enfant. Mais en ayant tenu la promesse que je lui avais faite en le lui amenant : que je ne l’abandonnerais jamais, qu’il ne dormirait plus jamais dehors et qu’il n’aurait plus jamais faim. Et surtout que je l’aimerai comme un chien doit l’être chaque jour.

Au moment de son départ, je l’ai serré dans mes bras. Je lui ai alors dit que je l’aimerais toujours, et surtout qu’il me manquerait tous les jours de ma vie.

Je l’ai également remercié pour la grande leçon qu’il m’a donnée sur la vie, l’espoir et l’amour.